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J’ai des crises d’angoisse : quel traitement ?

Les crises d’angoisse se manifestent à peu près de la même façon chez tout le monde mais les causes des crises d’angoisse sont variables. L’histoire personnelle de chacun entre en jeu mais il n’y a pas que le passé qui compte. Il y a le contexte actuel et tes perspectives d’avenir. Tu dois avoir une idée, même si elle est floue, du « pourquoi » mais tu ne peux pas analyser toi-même les facteurs responsables de tes crises d’angoisse. Tu sais ce qui te calme quand ça t’arrive mais tu ne parviens pas à l’éviter. Tu dois te concentrer sur ça. Il existe un mécanisme et, sans renier tes problèmes, si tu déconstruis ce mécanisme, tu vas traiter tes crises d’angoisse.

Choisir l’action

Dans cette situation compliquée, un traitement ne peut se faire qu’avec une aide extérieure. Comme pour de très nombreux troubles, les traitements les plus efficaces sont ceux qui font intervenir des personnes ayant vécu les mêmes choses que toi. De l’alcoolisme aux traumatismes en passant par les crises d’angoisse : ce type de traitement est partout. Réunions en groupes, livres témoignages, sites Internet : ça prend plusieurs formes et chacun peut trouver ce qui lui convient.

Tu es ici parce que tu as besoin d’informations pour avancer vers ta solution. C’est exactement ce que je propose. Maintenant, tu peux toi-même commencer à agir pour faire tes premiers pas vers la fin des crises d’angoisse parce que le meilleur traitement, c’est celui que tu choisis et celui où tu participes.

Tu as plus d’une option devant toi. Évidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire mais tu peux déjà voir, avec les quelques idées qui vont suivre, que quelques petites choses qui ont l’air de rien peuvent avoir des effets très importants pour la suite de ta progression. C’est valable pour n’importe quel type de crise d’angoisse et peu importe les causes.

Choisir d’être heureux

Commences par trouver quelque chose pour te détendre. Je vais te donner des exemples mais il y a des centaines de possibilités, peut-être même plus : réserver un massage professionnel, prendre des cours de théâtre, apprendre la guitare, t’inscrire dans un club de sport, regarder une bonne comédie à la télé, écouter ton chat qui ronronne ou de la musique zen… C’est une petite partie du chemin que tu peux faire pour t’en sortir. En quoi te détendre plus souvent peut-il t’aider ? Tu vas penser (de temps en temps) à autre chose qu’à tes problèmes ou à ce qui te fait peur. Si tu apprends de nouvelles choses, tu vas probablement reprendre rapidement un peu plus confiance en toi. Si tu prends le temps de te détendre plus souvent ne serait-ce qu’en regardant des films qui te plaisent, tu n’auras pas seulement des bienfaits psychologiques : il y a une réponse physique du corps quand le stress s’évacue.

Qu’est-ce qui te ferait vraiment plaisir ? (et qui ne rend pas dépendant!). Ça, c’est concret et c’est choisir d’essayer d’être un peu plus heureux. Je ne te parle pas de tout changer dans ta vie. Cette solution radicale n’est pas concrète. C’est souvent le rêve des gens qui font des crises d’angoisse. Aujourd’hui, fais quelque chose de concret.

Si tu trouves quelque chose pour te détendre, tu décides que tu mérites quelque chose de positif et pas seulement de vivre dans l’angoisse. Tu es entre la gestion des crises et le début d’un traitement. Il y a de nombreuses étapes mais tu peux toutes les franchir. Dans ma newsletter, tu vas trouver encore plus de conseils !

5 astuces contre les crises d’angoisse

Avec ces astuces pour faire face aux crises d’angoisse, tu vas peut-être trouver en toi, des ressources que tu ne connaissais pas, pour mieux gérer le problème.

Avoir un réflexe

Il y a beaucoup de personnes qui font des crises d’angoisse et qui adoptent un réflexe pour les faire passer. Normalement un réflexe, ce n’est pas quelque chose de volontaire et c’est plutôt quelque chose qu’on ne contrôle pas. Dans le langage de tous les jours, on dit « j’ai eu le réflexe de… ». C’est dans ce sens là que tu dois comprendre le mot « réflexe » contre la crise d’angoisse.

Il y a beaucoup de possibilités. Tu peux prendre une position particulière. Par exemple, tu t’assois et tu te baisses pour entourer tes jambes avec tes bras. Tu fais un exercice de respiration ou tu prends un objet dans ta main. En fait, le plus important c’est de faire toujours la même chose. Les gens qui font des crises d’angoisse ont quasiment tous leur petit truc qui les apaise.

Aller quelque part

C’est une astuce qui fonctionne aussi chez pas mal de personnes souffrant de crises d’angoisse. Quand tu commences à ressentir les symptômes (mais tu peux aussi le faire quand tu vas bien), tu vas dans un endroit que tu apprécies. Peu importe si c’est sur ton balcon, dans un jardin public, sur les marches d’un escalier, près d’une fontaine…

Tu dois trouver un environnement capable de te tranquilliser et facile d’accès. Quand tu n’as pas encore traité tes crises d’angoisse, l’environnement dans lequel tu te trouves est encore très important. De quoi as-tu besoin ? Du bruit ou du silence ? Une vue ou une pièce close ? De la lumière ou de l’obscurité ? En te posant ce genre de questions, tu trouveras l’endroit idéal.

Faire un sport

Pratiquer un sport, ça représente plusieurs avantages contre les crises d’angoisse. D’abord, ça te fait penser à autre chose parce que tu dois fournir des efforts ou apprendre des mouvements etc. Ensuite, ça va t’aider pour ta respiration et ton organisme va pouvoir mieux résister contre le stress. Il se passe plein de choses dans le corps humain quand on fait du sport par exemple, il libère de l’endorphine : cette substance est connue pour générer la sensation de plaisir et diminuer celle de la douleur.

Prendre un animal

Si tu en as déjà un, alors tu sais ce qu’un animal peut apporter aux personnes angoissées mais si tu n’en as pas, cette astuce te paraît peut-être peu crédible pourtant, tu pourras trouver des études très sérieuses, des études scientifiques qui ont été menées par des spécialistes et qui ont prouvé les effets positifs concrets et mesurables (telle que la baisse de l’hypertension) des animaux domestiques sur la vie des personnes qui en possèdent.

Éviter à tout prix une solution addictive

Il y a plein de solutions temporaires aux crises d’angoisse qui ont un potentiel addictif très fort. Voilà quelques exemples : le chocolat et la nourriture en général, la cigarette, l’alcool. Ce ne sont pas les seules solutions, il y a aussi les médicaments. Beaucoup de choses peuvent te rendre addict si tu ne fais pas attention. Il vaut mieux réagir maintenant si tu es dans ce cas et choisir une autre solution. Lance-toi plutôt dans un loisir, une activité qui te change complètement les idées.

Ces astuces devraient te permettre d’envisager une porte de sortie, loin de tes crises d’angoisse. Si tu veux en savoir plus pour vraiment traiter ce problème, je te propose de tester ma newsletter.

9 astuces pour éviter la crise d’angoisse

9 astuces pour éviter la crise d’angoisse

Respirer

Tu as du le lire plus d’une fois, en faisant des recherches au sujet de la crise d’angoisse : la respiration est ce qui revient toujours dans le vif du sujet. Respirer, c’est tellement naturel que tu ne vois peut-être pas trop ce que cela veut dire dans cette situation mais saches que cela s’apprend quand on est angoissé.

Cet apprentissage prend un peu de temps, parce qu’il faut pratiquer régulièrement mais au bout d’un moment à travailler ta respiration, ce qui se passe, c’est qu’à la prochaine crise d’angoisse, cela fait effet : c’est devenu un réflexe.

Respirer correctement dès que l’angoisse commence à grandir, cela te permet d’éviter plusieurs choses, surtout l’accélération des battements du cœur et la sensation qui va souvent avec, celle d’étouffer.

Savoir se détendre

Le but est de faire un peu plus d’espace aux pensées agréables. Cela s’apprend aussi et tu vas voir que si tu prends le temps de te détendre un peu plus souvent, en faisant des choses toutes simples mais qui te plaisent vraiment, les conséquences positives ne vont pas tarder à apparaître.

Oublier le regard des autres

Pas de doute, c’est parmi les choses les plus difficiles à faire quand on fait des crises d’angoisse. Cela aussi peut être appris et le bénéfice que tu peux en retirer est énorme. Cela fait même partie directement de la solution au problème de la crise d’angoisse puisque c’est au moment où tu réussis à oublier le regard des autres que tes crises disparaissent.

Apprendre à mieux s’aimer

Voilà un autre apprentissage et celui-ci peut prendre toute une vie ! Mais tu connais sûrement des gens qui ont réussi. Ils sont la preuve que c’est possible alors, si toi aussi comme bon nombre de personnes qui font des crises d’angoisse, tu manques de confiance, n’oublies pas : une meilleure estime de soi-même fait réellement partie de la solution contre l’angoisse.

Retrouver confiance

C’est la conséquence directe d’un amour-propre retrouvé ou amélioré. Il existe des moyens concrets d’y parvenir. Dès que tu commences à retrouver un peu plus de confiance, tout s’enchaîne rapidement. Les causes de tes angoisses ne pèsent plus autant sur ta vie quotidienne.

Relâcher la pression

Quand tu as appris à te détendre, tu es capable d’aller encore plus loin et de pratiquer une activité qui va te faire complètement évacuer ton anxiété. Beaucoup de personnes se disent incapables de se défouler et de tout oublier mais ont-elles seulement essayé de le faire ?

Prendre mieux soin de soi

Soit tu as appris à t’aimer un peu plus et cela vient naturellement, soit c’est par cela que tu commences. Tes crises d’angoisse sont la manifestation de ce ne qui ne va pas dans ta vie et cette astuce parmi les plus simples est pourtant l’une de celles qui va aider à arranger les choses.

Se confier

Extrêmement important lorsque tu vis avec ton angoisse jour après jour : ne la garde surtout pas pour toi tout seul.

Aider les autres

Cette astuce contre la crise d’angoisse est liée au fait que les personnes très angoissées peuvent finir par ne voir plus qu’une seule chose, leurs peurs, leurs problèmes, leur souffrance. En aidant quelqu’un tu vas obligatoirement être face à d’autres problèmes que les tiens. Peu importe ce que c’est d’ailleurs, aider un ami, faire du bénévolat… Si tu te sers de cette astuce, tu remarqueras tout de suite un changement chez toi.

Il y a des astuces qui t’intéressent plus que d’autres dans cette liste ou tu as besoin d’autres trucs utiles ? Jette un coup d’œil à la newsletter pour stopper les crises d’angoisse !

La sensation de mort imminente (spasmophilie)

La sensation de mort imminente (spasmophilie)

Que se passe t-il pendant une crise de spasmophilie ?

Les manifestations physiques d’une crise de spasmophilie sont, couramment, la respiration difficile, souvent jusqu’à l’impression de suffoquer et les pulsations cardiaques qui s’accélèrent, jusqu’à l’impression que le cœur va s’arrêter. On rencontre aussi les phénomènes de mains moites et de transpiration du visage. On peut trembler ou avoir la tête qui tourne.

Ces signes « extérieurs » de la spasmophilie, tu les connais et tu sais qu’ils sont visibles par les autres. C’est ce qui te pousses à avoir envie de t’enfuir très vite et très loin de là où tu es mais cette crise, il se trouve qu’elle arrive généralement dans des endroits où partir est très difficile. Et en plus, même si tu pouvais le faire, tu es peut-être figé sur place à essayer de ne pas t’évanouir ou vomir.

La spasmophilie, c’est aussi un champ de guerre dans ta tête. La peur s’empare de toi. Tu as le temps de voir venir la crise et tu ne peux rien faire pour l’empêcher d’arriver. Des milliers de pensées se bousculent dans ton esprit jusqu’à ce qu’il soit complètement perturbé. C’est là que tu te mets à penser que tu es peut-être atteint d’une grave maladie psychiatrique ou d’un problème cardiaque.

Un cauchemar…

C’est là aussi que la pensée que tu vas mourir traverse ton esprit. C’est ce que certains ont appelé la sensation de mort imminente : la conviction, pendant quelques secondes ou minutes, que c’est la fin.

Cet enchaînement terrifiant de phénomènes corporels et de pensées toutes plus sombres les unes que les autres est brusque et rapide. Par contre, pour s’en remettre, il te faut bien plus de temps et des tonnes de questions arrivent dont celle-ci : qu’est-ce ne qui ne va pas chez moi ?

Des conseils pour ne plus souffrir de spasmophilie

Relativiser

D’abord, tu dois absolument relativiser et au plus vite, en prenant conscience d’un fait bien réel : cela arrive à plein de gens et là je te parle de millions de personnes. Cela s’appelle différemment selon les pays mais les symptômes sont similaires.

La dernière fois que cela t’es arrivé, au restaurant, dans le bus ou dans une salle d’attente, je suis prêt à parier qu’au moins une des personnes qui étaient présentes, connaît elle aussi le problème.

Dédramatiser

Ensuite et tu peux en être persuadé, ces crises de spasmophilie et cette fameuse sensation de mort imminente n’ont aucun rapport avec le fait d’être psychologiquement stable ou pas. C’est sûr que lorsque tout va bien dans la vie, on n’est pas victime de ce genre de crise ceci dit, le monde n’est pas peuplé de millions de cas psychiatriques qui s’ignorent.

Et c’est très rare que ces crises soient le symptôme d’une vraie maladie mais tu dois quand même voir ton médecin.

Apprendre

Et enfin, pour avancer dans ta vie sans qu’elle soit gâchée par ces crises d’angoisse extrêmes qui surviennent à tout moment, tu peux apprendre à les gérer.

Tu peux progresser petit à petit, en franchissant des étapes et même des étapes qui te paraissent aujourd’hui complètement inaccessibles : aller dans les endroits où tu ne vas sans doute plus maintenant, te retrouver à nouveau dans les situations qui te terrifient parce que tu sais que c’est prendre le risque de faire une crise, te moquer du regard d’autrui.

C’est difficile à croire quand tu t’es déjà retrouvé en pleine crise de panique, seul au monde alors qu’il y a plein de gens autour de toi mais c’est vrai. Toutes ces étapes et plus encore, peuvent être surmontées. Si tu veux de l’aide avec, n’oublie pas de t’inscrire sur ma newsletter pour surmonter la spasmophilie.

La crise d’angoisse aiguë ou l’attaque de panique

Sous l’impulsion de l’American Psychiatric Association, la DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 2000)[1] est le recueil des troubles mentaux définis de manière non équivoque en recourant non seulement aux observations cliniques mais aussi aux statistiques des incidences et prévalences dans la population générale. L’objectif de cette classification internationale est de fournir au médecin un outil plus ou moins objectif qui lui permette de poser un diagnostic le plus fiable possible en un minimum de temps.

L’attaque de panique peut être

– l’un des symptômes d’un syndrome tels que la dépression, la psychose, l’anxiété, la phobie.

– ponctuelle, sans répétition, sans conséquence. Elle ne se produit qu’une fois.

– le symptôme principal d’une psychopathologie chronique, à savoir le trouble panique.

Une attaque de panique est l’apparition brutale d’une terreur intense, accompagnée de symptômes psychiques, physiques et comportementaux. A la différence de la crise d’angoisse, la crise d’angoisse aiguë (panique) est caractérisée par l’intensité des sensations et l’impression de perte de contrôle totale.

  1. Symptômes psychiques : peur, angoisse, terreur, accompagnés ou non (selon la sévérité de l’attaque) d’une impression de dépersonnalisation (« on ne sait plus qui on est ») ou de déréalisation (modification de l’environnement dans ses formes ou ses couleurs) ; pensées catastrophiques : peur d’étouffer, peur de mourir, peur de devenir fou. Le patient est incapable de changer « ses idées » en se tournant vers un dérivatif, car la concentration est impossible et la mémoire perturbée.
  2. Symptômes physiques : très nombreux. Les plus fréquents concernent la respiration et le système cardio-vasculaire : sensation d’étouffement, hyperventilation, palpitations, tachycardie. A ces symptômes fréquents s’ajoutent des vertiges, des bouffées de chaleur ou des frissons, des étourdissements, des sueurs, des tremblements, des sensations de dérobement des jambes, des nausées, des vomissements, des douleurs musculaires, des paresthésies. L’éventail de ces symptômes est large et il faut noter qu’ils ne sont pas tous présents en même temps et que les patients ne ressentent pas nécessairement les mêmes symptômes au cours d’une crise de panique. Les troubles physiques augmentent la frayeur du patient, ce qui augmente l’intensité de ces troubles. C’est le processus du cercle vicieux.
  3. Symptômes comportementaux : agitation, fuite du lieu considéré comme insécurisant ou bien inhibition pouvant atteindre la sidération totale.

 

Schéma d’une attaque de panique : en général, les symptômes s’intensifient très rapidement au début, atteignent un seuil maximum se transformant en plateau (d’une durée variable), se calment progressivement. Une grande fatigue et/ou émotivité (larmes) persistent après le retour au repos. La durée totale d’une attaque de panique est de 20 à 30 minutes ; des extrêmes existent : quelques minutes, voire plus d’une heure.

Causes de la crise d’angoisse aiguë :

  1. pas de facteur déclenchant ;
  2. secondaire à des peurs existantes telles que l’anxiété phobique ;
  3. déclenchée par des événements traumatisants intenses ;
  4. relation à une maladie organique ou à la prise de toxiques.

 

Si les crises sont spontanées (pas de facteur déclenchant) et répétées, elles correspondent au trouble panique et se compliquent d’agoraphobie. Quand aux crises secondaires, elles surviennent chez les sujets phobiques confrontés à l’objet ou à la situation redoutée. La prise de toxiques peut induire une attaque de panique secondaire : alcool, LSD, CO2, drogues de synthèse, etc.

 

Traitement : dans un premier temps, il s’agit d’exclure une maladie organique. Dès que le diagnostic de panique est posé avec certitude, il convient d’écouter le patient et de prendre des informations sur les antécédents et les circonstances de la survenue de la crise. Expliquer que les symptômes physiques sont effrayants mais qu’il n’y a pas de maladie organique et que ces symptômes sont interprétés de façon catastrophique rassure le patient : sa vie n’est pas en danger.

Des exercices simples de ralentissement de la respiration, de focalisation sur un membre crispé induisent une détente suffisante pour que la crise s’arrête. Si malgré cela, la crise se prolonge, il est nécessaire de recourir aux médications de la catégorie des benzodiazépines telles que le diazépam, l’alprazolam ou le lorazépam.[2]

Le traitement de longue durée peut se faire en milieu hospitalier, combinant médications et psychothérapie. Toutefois, des méthodes plus simples, moins coûteuses et centrées sur le patient, devenant ainsi acteur de son traitement, existent sur le marché. En s’inscrivant à la newsletter de ce site, on se tient au courant des nouveaux trucs. De plus, il est possible d’écouter des cd sur lesquels des leçons de détente sont programmées : car en finir avec la panique demande un effort comme tout apprentissage d’une nouvelle compétence.



[1] La DSM-V est prévue pour 2011.

[2] Les noms commerciaux (marques déposées) sont respectivement : Valium, Xanax, Témesta