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Un traitement pour la spasmophilie

Ça ressemble à une maladie avec ce terme scientifique pour décrire une affection mais la spasmophilie en réalité, c’est une forme de crise d’angoisse, un peu comme la pire de toutes. C’est la crise d’angoisse qui donne l’impression qu’on a un problème de santé parce que physiquement, ça ne va pas. Tu as la tête qui tourne ou tu deviens tout rouge. C’est pour ça que la solution à laquelle on pense souvent, c’est de commencer un traitement avec des médicaments. Pourtant, il y a plein de médecins qui disent que c’est fait pour calmer sur le moment mais que ça ne marche pas pour traiter. Traiter c’est faire disparaître.

C’est vrai que les médicaments font du bien sur le coup mais si tu en prends, tu as remarqué que ça ne règle pas tes problèmes. Tu ne peux toujours pas faire ce que tu veux, quand tu veux. Tu dois toujours réfléchir deux fois plus longtemps que les autres avant d’aller dans un lieu où tu penses qu’une crise de spasmophilie pourrait se déclencher. Tu as toujours des pensées angoissantes et en un quart de seconde, malgré tes efforts ça se transforme dans une espèce de terreur abominable. Il faut que tu sortes, il faut que tu t’échappes.

Le traitement pour la spasmophilie ne commence pas avec une pilule. Il commence avec des décisions. Ce sont tes décisions à toi. C’est quand tu décides que tu vas être plus heureux (ou déjà, moins malheureux!) que tu vas pouvoir traiter la spasmophilie. Pour ça, il faut d’abord comprendre. Tu dois comprendre ce qui t’arrive et il y a plusieurs façons de faire. L’une de ces façons m’a permis de traiter mon problème et c’est ce que je partage aujourd’hui avec les gens qui font de la spasmophilie.

Ce n’est pas facile de comprendre. Il faut prendre en compte de nombreuses choses qui se sont passées dans ta vie, les choses qui font qu’aujourd’hui, il y a des répercussions sur ce que tu ressens, ce que tu fais. Il faut dégager ce qui ne va pas et imaginer comment le futur pourrait être mieux que ce que tu connais en ce moment. Il faut trier les situations et trier les émotions, pour entrer à l’intérieur du mécanisme qui déclenche les crises de spasmophilie.

Tout ça, les médicaments ne peuvent pas le faire à ta place. Tu peux les comparer à de la peinture. Imagine que tu as un mur en mauvais état chez toi et tu décides de le repeindre. Tu as un joli mur tout neuf mais derrière, c’est toujours pareil, c’est tout abîmé. La peinture ne tient pas sur un mur tout abîmé.

Tu as déjà essayé de comprendre et de faire du tri, j’en suis sûr et peut-être que tu as déjà trouvé des pistes à suivre. Les crises continuent. Il faut dire que la méthode pour disséquer les émotions provoquant les crises de spasmophilie n’est pas facile à mettre en place par soi-même. Par soi-même, personne ne peut être efficace pour analyser la situation, les origines, les répercussions. Le psychisme humain est bien trop complexe pour ça. Le dispositif de tes propres émotions, comment elles naissent mais aussi qu’est-ce que c’est exactement comme émotion, c’est une machine perfectionnée avec une part d’inconnu (tu peux appeler ça une part d’inconscient).

Dans ma newsletter, je ne dis pas comment tout contrôler. Je t’aide à découvrir comment ça fonctionne et comment tu peux intervenir toi-même sur le fameux dispositif. Tu peux enfin comprendre et appliquer à ta situation personnelle, quelque chose qui marche pour traiter la spasmophilie.

J’ai des crises d’angoisse : quel traitement ?

Les crises d’angoisse se manifestent à peu près de la même façon chez tout le monde mais les causes des crises d’angoisse sont variables. L’histoire personnelle de chacun entre en jeu mais il n’y a pas que le passé qui compte. Il y a le contexte actuel et tes perspectives d’avenir. Tu dois avoir une idée, même si elle est floue, du « pourquoi » mais tu ne peux pas analyser toi-même les facteurs responsables de tes crises d’angoisse. Tu sais ce qui te calme quand ça t’arrive mais tu ne parviens pas à l’éviter. Tu dois te concentrer sur ça. Il existe un mécanisme et, sans renier tes problèmes, si tu déconstruis ce mécanisme, tu vas traiter tes crises d’angoisse.

Choisir l’action

Dans cette situation compliquée, un traitement ne peut se faire qu’avec une aide extérieure. Comme pour de très nombreux troubles, les traitements les plus efficaces sont ceux qui font intervenir des personnes ayant vécu les mêmes choses que toi. De l’alcoolisme aux traumatismes en passant par les crises d’angoisse : ce type de traitement est partout. Réunions en groupes, livres témoignages, sites Internet : ça prend plusieurs formes et chacun peut trouver ce qui lui convient.

Tu es ici parce que tu as besoin d’informations pour avancer vers ta solution. C’est exactement ce que je propose. Maintenant, tu peux toi-même commencer à agir pour faire tes premiers pas vers la fin des crises d’angoisse parce que le meilleur traitement, c’est celui que tu choisis et celui où tu participes.

Tu as plus d’une option devant toi. Évidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire mais tu peux déjà voir, avec les quelques idées qui vont suivre, que quelques petites choses qui ont l’air de rien peuvent avoir des effets très importants pour la suite de ta progression. C’est valable pour n’importe quel type de crise d’angoisse et peu importe les causes.

Choisir d’être heureux

Commences par trouver quelque chose pour te détendre. Je vais te donner des exemples mais il y a des centaines de possibilités, peut-être même plus : réserver un massage professionnel, prendre des cours de théâtre, apprendre la guitare, t’inscrire dans un club de sport, regarder une bonne comédie à la télé, écouter ton chat qui ronronne ou de la musique zen… C’est une petite partie du chemin que tu peux faire pour t’en sortir. En quoi te détendre plus souvent peut-il t’aider ? Tu vas penser (de temps en temps) à autre chose qu’à tes problèmes ou à ce qui te fait peur. Si tu apprends de nouvelles choses, tu vas probablement reprendre rapidement un peu plus confiance en toi. Si tu prends le temps de te détendre plus souvent ne serait-ce qu’en regardant des films qui te plaisent, tu n’auras pas seulement des bienfaits psychologiques : il y a une réponse physique du corps quand le stress s’évacue.

Qu’est-ce qui te ferait vraiment plaisir ? (et qui ne rend pas dépendant!). Ça, c’est concret et c’est choisir d’essayer d’être un peu plus heureux. Je ne te parle pas de tout changer dans ta vie. Cette solution radicale n’est pas concrète. C’est souvent le rêve des gens qui font des crises d’angoisse. Aujourd’hui, fais quelque chose de concret.

Si tu trouves quelque chose pour te détendre, tu décides que tu mérites quelque chose de positif et pas seulement de vivre dans l’angoisse. Tu es entre la gestion des crises et le début d’un traitement. Il y a de nombreuses étapes mais tu peux toutes les franchir. Dans ma newsletter, tu vas trouver encore plus de conseils !

L’angoisse de la mort et faire une crise d’angoisse à cause de ça

Tu angoisses, ça dégénère, tu penses que tu peux mourir. Tu penses à la mort, tu angoisses, tu as l’impression d’être en danger : dans un sens ou dans l’autre, c’est effrayant mais un jour, tu pourrais bien regarder l’angoisse de la mort autrement.

Qu’est-ce que l’angoisse de la mort?

L’angoisse de la mort est une forme d’angoisse. Ça commence quand tu te retrouves dans des situations particulières où les choses se mettent à dégénérer. Il arrive que ça passe et il arrive que ça continue pendant des années. Il arrive aussi que ça empire et tu n’as plus besoin d’être dans un certain contexte, un lieu plein de monde, ta voiture… Tu peux te mettre à angoisser alors que tu es tranquillement installé chez toi.

Il faut bien faire la différence entre l’angoisse de la mort et ce que font beaucoup de gens quand ils pensent à la mort : ils s’interrogent. C’est un peu comme s’ils faisaient de la philo sans le savoir. Beaucoup de gens se posent des questions sur la mort puis ils reprennent le cours normal de leur vie quand ils n’y pensent plus.

Alors que l’angoisse de la mort, c’est associé à des sensations physiques et c’est l’impression qu’on peut mourir maintenant, parce qu’on va faire une crise cardiaque, on va se faire écraser par la foule, avoir un accident de voiture…

Ça t’empêche de vivre normalement. Ça t’empêche de profiter de la vie comme tu le voudrais. Il y a des choses que tu ne peux plus faire, des endroits où tu ne peux plus aller, des gens que tu ne plus fréquenter.

Est-ce que quelque chose a provoqué cette angoisse ? C’est plus compliqué que ça. Tu n’es pas obligé d’avoir vécu un traumatisme grave. Ça peut être une accumulation de choses puis un événement qui déclenche, alors que les choses dans ta vie n’allaient pas trop mal.

Essayer de comprendre, c’est bien mais changer ton regard, c’est plus efficace.

Pourquoi la crise d’angoisse à cause de l’angoisse de la mort ?

Tu peux utiliser mes astuces pour gérer une crise d’angoisse mais tu ne peux pas continuer indéfiniment. Tu trouves ce qui fonctionne bien pour toi mais tu dois aussi attaquer le problème pour que ça arrive de moins en moins souvent, jusqu’au jour où ça n’arrive plus.

La mort, c’est sérieux, grave, nous sommes d’accord. Ça fait peur à tout le monde. Pourtant, toi qui angoisse à cause de la mort, tu dois savoir une chose, même si c’est difficile à croire : tu aurais pu angoisser sur autre chose. Il se trouve que c’est la mort mais tu aurais pu angoisser sur les insectes ou sur l’eau. Ça a l’air moins angoissant ? En fait, pas du tout ! Les personnes qui ont peur (peur panique) du feu, des chiens ou même de certains aliments, pour elles c’est très grave et ça leur provoque aussi des sueurs, des palpitations. Ça leur gâche aussi la vie.

Ce que je veux dire c’est que la crise d’angoisse à cause de l’angoisse de la mort, il faut que tu la regardes comme une chose qui t’empêche d’être heureux. Le jour où tu ne la regardes plus comme ce qu’elle fait sur toi (la sensation d’être en danger) mais comme ce qu’elle est vraiment (un obstacle pour vivre bien) tu as presque gagné.

Si tu as décidé de vivre une meilleure vie, tu peux te libérer de l’angoisse de la mort. Déjà, dans ma newsletter (gratuite) tu vas trouver les premières réponses à tes questions !

5 astuces contre les crises d’angoisse

Avec ces astuces pour faire face aux crises d’angoisse, tu vas peut-être trouver en toi, des ressources que tu ne connaissais pas, pour mieux gérer le problème.

Avoir un réflexe

Il y a beaucoup de personnes qui font des crises d’angoisse et qui adoptent un réflexe pour les faire passer. Normalement un réflexe, ce n’est pas quelque chose de volontaire et c’est plutôt quelque chose qu’on ne contrôle pas. Dans le langage de tous les jours, on dit « j’ai eu le réflexe de… ». C’est dans ce sens là que tu dois comprendre le mot « réflexe » contre la crise d’angoisse.

Il y a beaucoup de possibilités. Tu peux prendre une position particulière. Par exemple, tu t’assois et tu te baisses pour entourer tes jambes avec tes bras. Tu fais un exercice de respiration ou tu prends un objet dans ta main. En fait, le plus important c’est de faire toujours la même chose. Les gens qui font des crises d’angoisse ont quasiment tous leur petit truc qui les apaise.

Aller quelque part

C’est une astuce qui fonctionne aussi chez pas mal de personnes souffrant de crises d’angoisse. Quand tu commences à ressentir les symptômes (mais tu peux aussi le faire quand tu vas bien), tu vas dans un endroit que tu apprécies. Peu importe si c’est sur ton balcon, dans un jardin public, sur les marches d’un escalier, près d’une fontaine…

Tu dois trouver un environnement capable de te tranquilliser et facile d’accès. Quand tu n’as pas encore traité tes crises d’angoisse, l’environnement dans lequel tu te trouves est encore très important. De quoi as-tu besoin ? Du bruit ou du silence ? Une vue ou une pièce close ? De la lumière ou de l’obscurité ? En te posant ce genre de questions, tu trouveras l’endroit idéal.

Faire un sport

Pratiquer un sport, ça représente plusieurs avantages contre les crises d’angoisse. D’abord, ça te fait penser à autre chose parce que tu dois fournir des efforts ou apprendre des mouvements etc. Ensuite, ça va t’aider pour ta respiration et ton organisme va pouvoir mieux résister contre le stress. Il se passe plein de choses dans le corps humain quand on fait du sport par exemple, il libère de l’endorphine : cette substance est connue pour générer la sensation de plaisir et diminuer celle de la douleur.

Prendre un animal

Si tu en as déjà un, alors tu sais ce qu’un animal peut apporter aux personnes angoissées mais si tu n’en as pas, cette astuce te paraît peut-être peu crédible pourtant, tu pourras trouver des études très sérieuses, des études scientifiques qui ont été menées par des spécialistes et qui ont prouvé les effets positifs concrets et mesurables (telle que la baisse de l’hypertension) des animaux domestiques sur la vie des personnes qui en possèdent.

Éviter à tout prix une solution addictive

Il y a plein de solutions temporaires aux crises d’angoisse qui ont un potentiel addictif très fort. Voilà quelques exemples : le chocolat et la nourriture en général, la cigarette, l’alcool. Ce ne sont pas les seules solutions, il y a aussi les médicaments. Beaucoup de choses peuvent te rendre addict si tu ne fais pas attention. Il vaut mieux réagir maintenant si tu es dans ce cas et choisir une autre solution. Lance-toi plutôt dans un loisir, une activité qui te change complètement les idées.

Ces astuces devraient te permettre d’envisager une porte de sortie, loin de tes crises d’angoisse. Si tu veux en savoir plus pour vraiment traiter ce problème, je te propose de tester ma newsletter.

9 astuces pour éviter la crise d’angoisse

9 astuces pour éviter la crise d’angoisse

Respirer

Tu as du le lire plus d’une fois, en faisant des recherches au sujet de la crise d’angoisse : la respiration est ce qui revient toujours dans le vif du sujet. Respirer, c’est tellement naturel que tu ne vois peut-être pas trop ce que cela veut dire dans cette situation mais saches que cela s’apprend quand on est angoissé.

Cet apprentissage prend un peu de temps, parce qu’il faut pratiquer régulièrement mais au bout d’un moment à travailler ta respiration, ce qui se passe, c’est qu’à la prochaine crise d’angoisse, cela fait effet : c’est devenu un réflexe.

Respirer correctement dès que l’angoisse commence à grandir, cela te permet d’éviter plusieurs choses, surtout l’accélération des battements du cœur et la sensation qui va souvent avec, celle d’étouffer.

Savoir se détendre

Le but est de faire un peu plus d’espace aux pensées agréables. Cela s’apprend aussi et tu vas voir que si tu prends le temps de te détendre un peu plus souvent, en faisant des choses toutes simples mais qui te plaisent vraiment, les conséquences positives ne vont pas tarder à apparaître.

Oublier le regard des autres

Pas de doute, c’est parmi les choses les plus difficiles à faire quand on fait des crises d’angoisse. Cela aussi peut être appris et le bénéfice que tu peux en retirer est énorme. Cela fait même partie directement de la solution au problème de la crise d’angoisse puisque c’est au moment où tu réussis à oublier le regard des autres que tes crises disparaissent.

Apprendre à mieux s’aimer

Voilà un autre apprentissage et celui-ci peut prendre toute une vie ! Mais tu connais sûrement des gens qui ont réussi. Ils sont la preuve que c’est possible alors, si toi aussi comme bon nombre de personnes qui font des crises d’angoisse, tu manques de confiance, n’oublies pas : une meilleure estime de soi-même fait réellement partie de la solution contre l’angoisse.

Retrouver confiance

C’est la conséquence directe d’un amour-propre retrouvé ou amélioré. Il existe des moyens concrets d’y parvenir. Dès que tu commences à retrouver un peu plus de confiance, tout s’enchaîne rapidement. Les causes de tes angoisses ne pèsent plus autant sur ta vie quotidienne.

Relâcher la pression

Quand tu as appris à te détendre, tu es capable d’aller encore plus loin et de pratiquer une activité qui va te faire complètement évacuer ton anxiété. Beaucoup de personnes se disent incapables de se défouler et de tout oublier mais ont-elles seulement essayé de le faire ?

Prendre mieux soin de soi

Soit tu as appris à t’aimer un peu plus et cela vient naturellement, soit c’est par cela que tu commences. Tes crises d’angoisse sont la manifestation de ce ne qui ne va pas dans ta vie et cette astuce parmi les plus simples est pourtant l’une de celles qui va aider à arranger les choses.

Se confier

Extrêmement important lorsque tu vis avec ton angoisse jour après jour : ne la garde surtout pas pour toi tout seul.

Aider les autres

Cette astuce contre la crise d’angoisse est liée au fait que les personnes très angoissées peuvent finir par ne voir plus qu’une seule chose, leurs peurs, leurs problèmes, leur souffrance. En aidant quelqu’un tu vas obligatoirement être face à d’autres problèmes que les tiens. Peu importe ce que c’est d’ailleurs, aider un ami, faire du bénévolat… Si tu te sers de cette astuce, tu remarqueras tout de suite un changement chez toi.

Il y a des astuces qui t’intéressent plus que d’autres dans cette liste ou tu as besoin d’autres trucs utiles ? Jette un coup d’œil à la newsletter pour stopper les crises d’angoisse !

La sensation de mort imminente (spasmophilie)

La sensation de mort imminente (spasmophilie)

Que se passe t-il pendant une crise de spasmophilie ?

Les manifestations physiques d’une crise de spasmophilie sont, couramment, la respiration difficile, souvent jusqu’à l’impression de suffoquer et les pulsations cardiaques qui s’accélèrent, jusqu’à l’impression que le cœur va s’arrêter. On rencontre aussi les phénomènes de mains moites et de transpiration du visage. On peut trembler ou avoir la tête qui tourne.

Ces signes « extérieurs » de la spasmophilie, tu les connais et tu sais qu’ils sont visibles par les autres. C’est ce qui te pousses à avoir envie de t’enfuir très vite et très loin de là où tu es mais cette crise, il se trouve qu’elle arrive généralement dans des endroits où partir est très difficile. Et en plus, même si tu pouvais le faire, tu es peut-être figé sur place à essayer de ne pas t’évanouir ou vomir.

La spasmophilie, c’est aussi un champ de guerre dans ta tête. La peur s’empare de toi. Tu as le temps de voir venir la crise et tu ne peux rien faire pour l’empêcher d’arriver. Des milliers de pensées se bousculent dans ton esprit jusqu’à ce qu’il soit complètement perturbé. C’est là que tu te mets à penser que tu es peut-être atteint d’une grave maladie psychiatrique ou d’un problème cardiaque.

Un cauchemar…

C’est là aussi que la pensée que tu vas mourir traverse ton esprit. C’est ce que certains ont appelé la sensation de mort imminente : la conviction, pendant quelques secondes ou minutes, que c’est la fin.

Cet enchaînement terrifiant de phénomènes corporels et de pensées toutes plus sombres les unes que les autres est brusque et rapide. Par contre, pour s’en remettre, il te faut bien plus de temps et des tonnes de questions arrivent dont celle-ci : qu’est-ce ne qui ne va pas chez moi ?

Des conseils pour ne plus souffrir de spasmophilie

Relativiser

D’abord, tu dois absolument relativiser et au plus vite, en prenant conscience d’un fait bien réel : cela arrive à plein de gens et là je te parle de millions de personnes. Cela s’appelle différemment selon les pays mais les symptômes sont similaires.

La dernière fois que cela t’es arrivé, au restaurant, dans le bus ou dans une salle d’attente, je suis prêt à parier qu’au moins une des personnes qui étaient présentes, connaît elle aussi le problème.

Dédramatiser

Ensuite et tu peux en être persuadé, ces crises de spasmophilie et cette fameuse sensation de mort imminente n’ont aucun rapport avec le fait d’être psychologiquement stable ou pas. C’est sûr que lorsque tout va bien dans la vie, on n’est pas victime de ce genre de crise ceci dit, le monde n’est pas peuplé de millions de cas psychiatriques qui s’ignorent.

Et c’est très rare que ces crises soient le symptôme d’une vraie maladie mais tu dois quand même voir ton médecin.

Apprendre

Et enfin, pour avancer dans ta vie sans qu’elle soit gâchée par ces crises d’angoisse extrêmes qui surviennent à tout moment, tu peux apprendre à les gérer.

Tu peux progresser petit à petit, en franchissant des étapes et même des étapes qui te paraissent aujourd’hui complètement inaccessibles : aller dans les endroits où tu ne vas sans doute plus maintenant, te retrouver à nouveau dans les situations qui te terrifient parce que tu sais que c’est prendre le risque de faire une crise, te moquer du regard d’autrui.

C’est difficile à croire quand tu t’es déjà retrouvé en pleine crise de panique, seul au monde alors qu’il y a plein de gens autour de toi mais c’est vrai. Toutes ces étapes et plus encore, peuvent être surmontées. Si tu veux de l’aide avec, n’oublie pas de t’inscrire sur ma newsletter pour surmonter la spasmophilie.

Que faire contre l’angoisse?

Comment lutter contre l’angoisse ?

Être angoissé excessivement, tout le temps ou presque, et faire des crises d’angoisse, ce n’est pas une fatalité contre laquelle tu ne peux rien faire. Au contraire, l’angoisse ne fait pas partie de toi. Elle n’est pas un élément de ta personnalité ; elle vient perturber ta vie. Il est possible pour toi de la saisir et de la jeter à la poubelle, progressivement mais définitivement.

Pour cela, il faut que tu sois motivé. Si tu as pris ta décision, je peux t’aider parce que j’ai souffert de l’angoisse jusqu’à en faire des crises aiguës et je m’en suis débarrassé. C’est le chemin que j’ai suivi que je te propose de suivre à ton tour. Je ne dis pas que c’est un chemin facile mais si tu veux vraiment y arriver, tu pourrais bientôt ne plus avoir à subir les dégâts de l’angoisse.

Un premier pas vers une vie sans angoisse

Ne plus être angoissé, c’est une libération. Tu n’as plus peur de ces situations qui peuvent faire surgir des crises et tu ne passes plus des heures, des nuits entières à ressasser des pensées angoissantes. Car c’est ce que font ceux qui sont angoissés ; cela peut même durer plusieurs jours et plusieurs semaines.

En général, ce qui empêche d’être libéré de l’angoisse, c’est une pensée obsédante qui est la peur de quelque chose. Cette peur se focalise sur des thèmes différents selon les personnes. Peu importe ce qu’on peut leur démontrer avec des raisonnements infaillibles, il semble qu’il n’y ait rien à faire contre cette peur, qui est d’ailleurs plus ou moins irrationnelle. Tu sais sans doute de quoi je parle car tu essaies probablement toi-même de te raisonner mais ça ne fonctionne pas.

Tu peux essayer de faire ce premier pas vers cette vie sans angoisse avec les conseils pratiques de quelqu’un qui a réussi à s’en sortir. Que ce soit la peur des autres qui te paralyse, et certaines personnes en arrivent au point de ne plus pouvoir sortir de chez elles ; ou que ce soit autre chose, comme la foule, les grands espaces vides, ou bien un problème de la vie quotidienne, une personne, une situation… la méthode pour faire disparaître l’angoisse est basée sur les mêmes fondements avec plusieurs étapes à franchir.

Imaginer sa vie sans angoisse

Avec un travail sur soi-même, l’angoisse peut diminuer et finir par disparaître parce que l’objet de cette angoisse est secondaire et c’est ce que tu vas découvrir avec ma méthode. Tu t’en doutes peut-être déjà mais tu ne parviens pas à intégrer cette idée. C’est normal car se libérer seul de ses angoisses, c’est vraiment très difficile.

On dit que si on a la phobie des araignées ou des ascenseurs, ce n’est pas un hasard mais que cela aurait pu être autre chose. Quand tu auras perçu l’objet ou les objets de ton angoisse pour ce qu’ils sont, tu auras fait un grand pas en avant. Ce ne sont pas des prétextes à angoisser parce que la peur est bien réelle mais plutôt des raisons de ne pas s’en faire !

C’est facile à dire mais ce n’est pas facile à réaliser. Pourtant, tu peux rapidement obtenir une clé pour débloquer la situation, en abordant la peur différemment. Mais ma méthode est très concrète et ne se résume pas à de la théorie.

Est-ce que tu peux imaginer pendant quelques secondes, ce que serait ta vie si tu ne souffrais plus d’angoisse ? Il va sans dire que tu profiterais plus de l’existence : c’est bien là le but ultime de ma méthode contre l’angoisse.

Si tu veux d’astuces gratuites et même quelques vidéos contre l’angoisse, tu sauras t’inscrire ici.

Oh non, une attaque de panique

Qu’est-ce qu’une attaque de panique ?

Beaucoup plus de gens qu’on ne le croit souffrent d’attaques de paniques. Si tu en parles autour de toi, tu as sûrement remarqué que pas mal de personnes ont connu ce problème au moins une fois dans leur vie. Mais bien sûr, ce n’est pas un sujet qu’on aime aborder en général. Tu es peut-être gêné d’en parler ; tu peux être sûr que tu n’es pas le seul dans ce cas. Il y a aussi beaucoup de personnes qui pensent qu’elles ont fait des attaques de panique alors qu’il s’agissait plutôt de crises d’angoisse. Alors qu’est-ce que c’est vraiment, cette attaque de panique ?

L’attaque de panique : comment cela se manifeste ?

Pas besoin d’avoir des problèmes psychiatriques ni même des troubles psychologiques pour être victime d’une attaque de panique. Malheureusement, c’est une idée assez répandue mais elle est fausse. On sait aujourd’hui que des personnes peuvent traverser des passages difficiles de leur vie sans pour autant sombrer dans la dépression et être sujets à des attaques de panique.

Tu seras probablement d’accord avec cette description. L’attaque de panique commence par une crise d’angoisse.

Selon les personnes, elle survient dans des endroits très différents mais il y a des points communs plutôt troublants. On parle des endroits confinés et plein de monde, comme les transports en commun. À l’inverse, on parle aussi des lieux complètement déserts. Tu as peut-être vécu une de ces attaques terrifiantes dans le bus ou dans le métro, dans une salle de concert ou en attendant à la caisse d’un supermarché.

Tu sens l’angoisse qui monte et tu as l’impression que tout le monde t’observe. Et si ça t’arrive dans un endroit où tu es seul, tu commences à être envahi par la pensée qu’il n’y aura personne pour t’aider si jamais la situation dégénère.

Les pièges de l’attaque de panique

Le pire dans tout ça, c’est que la situation n’a sûrement jamais dégénéré. En fait, une toute petite proportion de personnes qui font des attaques de panique finit par vomir ou par tomber dans les pommes. Et pourtant à chaque fois c’est pareil, tu es persuadé que c’est ce qui t’attend.

Difficile de décrire l’attaque de panique à quelqu’un qui ne sait pas ce que c’est. C’est en même temps physique et psychologique et c’est brutal. Le rythme cardiaque peut même s’emballer à toute vitesse. Il y en a qui se mettent à transpirer et d’autres à trembler.

Il y a des pièges parce que l’attaque de panique, c’est un cercle vicieux. D’abord, comme je le disais plus haut, même quand on n’a jamais perdu connaissance, on peut être obsédé par cette idée. Et cette idée ne fait qu’aggraver la situation de panique. Il suffit de quelques secondes pour se retrouver dans un état d’angoisse extrême. On bascule instantanément ou presque : tout allait bien et tout à coup, tu as peur de mourir.

Ce cercle vicieux, c’est la peur d’avoir peur. Quand tu as fait une attaque de panique, tu ne peux pas t’empêcher d’avoir peur que ça recommence.

Comment s’en sortir ?

Tu n’es pas fou et tu n’es pas obligé de prendre des médicaments. Si ton médecin ne pense pas que tu as un problème de santé et que tu ne fais pas une dépression, tu peux suivre une méthode pour casser le cercle vicieux de l’attaque de panique.

Cela ne va pas disparaître du jour au lendemain mais tu verras que les choses vont s’améliorer très vite. Abonne-toi à la newsletter pour découvrir ma méthode. Elle a déjà aidé des gens avec le même problème que toi.

L’attaque de panique

L’attaque de panique

 

Qu’est-ce que c’est ?

C’est une crise d’angoisse aiguë : elle survient brutalement où que tu sois. Tu ressens une peur intense en même temps que des troubles physiques. Tu penses que tu vas mourir … et tu cours chez le médecin ou aux urgences à l’hôpital.

En même temps que ta peur intense, tu ressens de l’angoisse, de la terreur ou de la panique. Tes pensées sont catastrophiques : tu images que tu vas t’évanouir, mourir, étouffer, avoir une crise cardiaque, tu es en train de devenir fou ; tu te sens différent de ce que tu es, tu perds ta personnalité et tu te sens dans un environnement fantastique, irréel. En un mot, tout tourne et se bouscule dans ta tête.

Ta respiration est difficile et ton cœur s’emballe ; tu as des vertiges, des nausées, des tremblements, des sueurs. Ces symptômes t’affolent : tu as peur et plus tu as peur, plus les symptômes augmentent. Et le cercle vicieux commence …

 

Comment y faire face ?

C’est la première fois ? Tu ne sais pas ce qui se passe : c’est bien de voir ton médecin ou d’aller aux urgences afin de poser un diagnostic et confirmer qu’il n’y a pas d’infarctus. C’est déjà rassurant. Le médecin t’écoute et te pose des questions sur ce que tu ressens. En général, l’attaque de panique dure quelques minutes qui sont, pour toi, un siècle. Parfois, la crise est plus longue. Comme c’est insupportable, la terreur est paroxystique, le médecin essaie de te calmer en te parlant : il va diriger ton attention vers une détente des muscles des bras, des jambes, etc. Tu vas modifier ton rythme respiratoire : tu fermes la bouche et tu respires le plus rapidement possible ; pour y arriver, on peut te poser un sachet sur le visage et du respires et expires dans ce sachet. Tu verras, tu respires plus lentement.

Si malgré cela la crise continue, le médecin te fera prendre un anxiolytique. Une fois la crise finie, tu te sentiras fatigué et tes émotions sont difficilement contrôlables. Ne t’inquiète pas, c’est normal.

Le médecin va t’expliquer tout cela.

 

Comment surviennent les attaques de panique ?

Dans certains cas, les attaques se manifestent sans aucune cause observable : elles sont spontanées. Dans d’autres cas, elles arrivent parce que tu vis déjà des peurs ou des événements traumatisants. Il y a aussi la catégorie des attaques de paniques déclenchées par la prise de drogues ou bien par une maladie organique.

Quels traitements ?

Tu élimines les substances toxiques comme l’alcool, le cannabis, la caféine, etc. Attention : pendant la désintoxication (sevrage), des attaques de panique peuvent survenir parce que tu es en manque de la substance. Petit conseil : diminuer ta consommation de façon progressive.

Tu t’assures que tu ne souffres pas de certaines maladies comme l’asthme, l’épilepsie, l’hyperthyroïdie, etc. Cela, c’est le rôle du médecin de déceler si tu as un problème ou pas : il est important de bien lui expliquer tes antécédents, les médicaments que tu prends. Il peut prescrire des examens sanguins, scanners, etc. s’il note que tu n’as pas suffisamment d’informations sur l’historique de ta santé.

Tu peux choisir de voir un psychiatre : tu optes alors pour un traitement médicamenteux, une aide (support au sevrage si nécessaire) et psychothérapie pour apprendre à te débarrasser de tes pensées catastrophiques ou pour comprendre pourquoi cela t’arrive : cela s’est passé dans une situation et tu as peur que cela recommence dans la même situation (au supermarché par exemple). Ta peur anticipée de la situation favorise la survenue de la crise … et c’est parti pour le cercle vicieux.

Mais tu peux choisir une méthode sans médicaments avec une rééducation de ta pensée : tu travailles ta pensée de manière positive. Comment ? Tu fais une recherche sur Internet et tu trouves des témoignages de personnes qui vivent la même chose que toi (c’est sécurisant de savoir qu’on n’est pas le seul à souffrir) ainsi que des conseils. Sois quand même prudent, assure-toi de bien comprendre le sens de ce qui est expliqué.

Va voir le site “Sans Angoisse” (c’est bien ce que tu veux, n’est-ce pas ?) et tu trouveras toutes sortes de renseignements ainsi qu’un programme élaboré par quelqu’un qui a les mêmes problèmes et qui s’en est sorti. Il y a des tests d’essai et des programmes à télécharger. C’est un entraînement au changement des mauvaises habitudes (comme les sportifs ont besoin d’endurance, c’est la même chose pour dominer l’angoisse). Bien sûr, voir le médecin est toujours nécessaire parce que c’est à lui à décider si les médicaments sont nécessaires ou pas, si tu n’as pas de carences en vitamines, etc. Le but, c’est qu’entre deux consultations chez le médecin, tu continues à travailler ta volonté de changer, que tu t’entraînes à penser au bonheur, bref que ce que tu penses maintenant irréalisable devienne évident.

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Bonne chance dans ta guérison

 

 

La crise d’angoisse aiguë ou l’attaque de panique

Sous l’impulsion de l’American Psychiatric Association, la DSM-IV (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 2000)[1] est le recueil des troubles mentaux définis de manière non équivoque en recourant non seulement aux observations cliniques mais aussi aux statistiques des incidences et prévalences dans la population générale. L’objectif de cette classification internationale est de fournir au médecin un outil plus ou moins objectif qui lui permette de poser un diagnostic le plus fiable possible en un minimum de temps.

L’attaque de panique peut être

– l’un des symptômes d’un syndrome tels que la dépression, la psychose, l’anxiété, la phobie.

– ponctuelle, sans répétition, sans conséquence. Elle ne se produit qu’une fois.

– le symptôme principal d’une psychopathologie chronique, à savoir le trouble panique.

Une attaque de panique est l’apparition brutale d’une terreur intense, accompagnée de symptômes psychiques, physiques et comportementaux. A la différence de la crise d’angoisse, la crise d’angoisse aiguë (panique) est caractérisée par l’intensité des sensations et l’impression de perte de contrôle totale.

  1. Symptômes psychiques : peur, angoisse, terreur, accompagnés ou non (selon la sévérité de l’attaque) d’une impression de dépersonnalisation (« on ne sait plus qui on est ») ou de déréalisation (modification de l’environnement dans ses formes ou ses couleurs) ; pensées catastrophiques : peur d’étouffer, peur de mourir, peur de devenir fou. Le patient est incapable de changer « ses idées » en se tournant vers un dérivatif, car la concentration est impossible et la mémoire perturbée.
  2. Symptômes physiques : très nombreux. Les plus fréquents concernent la respiration et le système cardio-vasculaire : sensation d’étouffement, hyperventilation, palpitations, tachycardie. A ces symptômes fréquents s’ajoutent des vertiges, des bouffées de chaleur ou des frissons, des étourdissements, des sueurs, des tremblements, des sensations de dérobement des jambes, des nausées, des vomissements, des douleurs musculaires, des paresthésies. L’éventail de ces symptômes est large et il faut noter qu’ils ne sont pas tous présents en même temps et que les patients ne ressentent pas nécessairement les mêmes symptômes au cours d’une crise de panique. Les troubles physiques augmentent la frayeur du patient, ce qui augmente l’intensité de ces troubles. C’est le processus du cercle vicieux.
  3. Symptômes comportementaux : agitation, fuite du lieu considéré comme insécurisant ou bien inhibition pouvant atteindre la sidération totale.

 

Schéma d’une attaque de panique : en général, les symptômes s’intensifient très rapidement au début, atteignent un seuil maximum se transformant en plateau (d’une durée variable), se calment progressivement. Une grande fatigue et/ou émotivité (larmes) persistent après le retour au repos. La durée totale d’une attaque de panique est de 20 à 30 minutes ; des extrêmes existent : quelques minutes, voire plus d’une heure.

Causes de la crise d’angoisse aiguë :

  1. pas de facteur déclenchant ;
  2. secondaire à des peurs existantes telles que l’anxiété phobique ;
  3. déclenchée par des événements traumatisants intenses ;
  4. relation à une maladie organique ou à la prise de toxiques.

 

Si les crises sont spontanées (pas de facteur déclenchant) et répétées, elles correspondent au trouble panique et se compliquent d’agoraphobie. Quand aux crises secondaires, elles surviennent chez les sujets phobiques confrontés à l’objet ou à la situation redoutée. La prise de toxiques peut induire une attaque de panique secondaire : alcool, LSD, CO2, drogues de synthèse, etc.

 

Traitement : dans un premier temps, il s’agit d’exclure une maladie organique. Dès que le diagnostic de panique est posé avec certitude, il convient d’écouter le patient et de prendre des informations sur les antécédents et les circonstances de la survenue de la crise. Expliquer que les symptômes physiques sont effrayants mais qu’il n’y a pas de maladie organique et que ces symptômes sont interprétés de façon catastrophique rassure le patient : sa vie n’est pas en danger.

Des exercices simples de ralentissement de la respiration, de focalisation sur un membre crispé induisent une détente suffisante pour que la crise s’arrête. Si malgré cela, la crise se prolonge, il est nécessaire de recourir aux médications de la catégorie des benzodiazépines telles que le diazépam, l’alprazolam ou le lorazépam.[2]

Le traitement de longue durée peut se faire en milieu hospitalier, combinant médications et psychothérapie. Toutefois, des méthodes plus simples, moins coûteuses et centrées sur le patient, devenant ainsi acteur de son traitement, existent sur le marché. En s’inscrivant à la newsletter de ce site, on se tient au courant des nouveaux trucs. De plus, il est possible d’écouter des cd sur lesquels des leçons de détente sont programmées : car en finir avec la panique demande un effort comme tout apprentissage d’une nouvelle compétence.



[1] La DSM-V est prévue pour 2011.

[2] Les noms commerciaux (marques déposées) sont respectivement : Valium, Xanax, Témesta